Êtes-vous prêts pour Survivor Québec ?

Laurie Mongrain

3/30/2023

Pendant 44 jours, 20 joueurs isolés sur une île exotique des Philippines seront confrontés à des épreuves mentales et physiques extrêmes. Ils devront user de stratégies pour survivre aux éliminations afin de devenir le dernier survivant et mettre la main sur le grand prix de 100 000 $ !

Mardi matin, le 28 mars, Patrice Bélanger ainsi que l'équipe de production planant sur la série, dont la productrice-exécutive Julie Snyder, avaient convié les représentants de divers médias au visionnement de presse de Survivor Québec, l’un des projets les plus vénérés et adaptés au monde. En effet, rappelons qu’avec 370 saisons dans le monde à ce jour, Survivor est un véritable phénomène télévisuel depuis 25 années ; et que nous sommes officiellement le 50e territoire à produire l’émission, fruit du travail des équipes chevronnées de Productions J en collaboration avec Bell Média.

Réunis au centre PHI, décoré pour l’occasion en thématique de Survivor, c’est dans une ambiance festive et fébrile que nous, les journalistes et photographes, avons eu l’honneur d’en découvrir les deux premiers épisodes en primeur. Ici, nous vous entendons déjà vous demander : « Mais qu’est-ce qui me guette pour cette folle aventure ? » Afin de vous éclaircir, nous avons eu l’opportunité de nous entretenir avec l’animateur. Ensemble, nous avons discuté en profondeur de son expérience, de son implication personnelle dans le rendu final et d’une autre excellente nouvelle tombée récemment, qui aura réveillé la nostalgie de plusieurs fidèles : le retour de la déjantée série jeunesse Les Testeurs.

Ce dimanche 2 avril à 20 h, Noovo présentera enfin la grande première de la téléréalité la plus attendue du printemps : SURVIVOR QUÉBEC ! Une série qui comprendra 56 épisodes, offerts sur une période de douze semaines.

Crédit photo : Frédéric Lebeuf

Question 1 : Premièrement, avant de participer à l’émission, Survivor occupait quelle place dans ta vie ?

Patrice : Eh moi Survivor, c’est une passion. Je suis un fan depuis 2000, l’année de création de son arrivée aux États-Unis, et dans nos télés ici au Québec. J’ai tout vu des 43 saisons complètes et la 44e. La première chose que j’ai faite en arrivant au Québec, quand je suis revenu la fin de semaine passée, après 50 jours de Survivor Québec, à manger du Survivor, à parler de Survivor, à vivre Survivor

La première chose que j’ai faite avec ma blonde et mes enfants, c’est de regarder l’épisode où j’étais rendu de Survivor US. Ça te donne une idée (rires) ? On est les trois, les quatre, en fait, ma blonde, mes enfants et moi. On est les quatre, je les ai contaminés ! On est tous fans de Survivor.

Donc, ça occupait une grande place, c’était un rendez-vous. C’est le genre de show pour lequel tu ne veux pas être divulgâché. Tu regardes ça, tu t’assures de te bloquer de tous les forums, de tous les échanges, de toutes les nouvelles sur qui a été éliminé. Bref, c’était une grande passion pour moi.

J’avais souvent rêvé de peut-être y jouer un jour, en me disant « Ok, la journée où ils prennent des Canadiens, je vais probablement envoyer ma candidature »…

Et un jour, en décembre 2021, Survivor Québec est annoncé. S’enclenche le processus pour annoncer la recherche d’un animateur. Julie [Snyder] l’a dit tantôt, je lui ai texté : « Hey, il faut juste que tu saches que ce show-là, je l’ai dans le sang. Il n’est pas question qu’il soit à la télé chez nous au Québec, puis que je n’aie pas eu ma chance. Je suis en train de te dire qu’il faut que ce soit moi qui anime ce show-là, Julie ! » Et elle m’a fait l’élégance de me faire passer une audition avec les quelques autres candidats potentiels.

Q2 : Justement, comment s’est passée l’audition ?

P : On était quelques-uns, on était un petit groupe restreint, assez choisi, assez sélectif de ce que j’ai cru comprendre. Je ne sais même pas encore qui tout ce monde-là est, mais on n’était même pas une dizaine à auditionner pour le mandat d’animateur, animatrice.

C’était une super belle audition, une grande audition avec une épreuve. Il y avait des petites tribus de cinq qui étaient là pour jouer, pour faire un bout d’épreuve. Après ça, il y avait un conseil de tribu où il fallait faire jaser les gens, essayer de comprendre des stratégies. C’était une belle audition, une belle grande audition. Et non pas quelque chose, pour un projet d’envergure comme celui-là, d’un peu chenu.

Ils ont vraiment bien fait ça. Écoute, j’ai été l’heureux élu avec le plus grand bonheur. Quand ils m’ont appelé, j’ai plein de belles nouvelles dans ma vie, mais la journée où on m’annonce que je vais animer Survivor Québec, ça fait partie des plus belles journées de ma vie. Tout comme les 44 que je viens de vivre, à animer Survivor Québec aux Philippines, pour la première de, j’espère, beaucoup de saisons. Ça fait que voilà, c’est comme ça que ça s’est passé.

Q3 : À quel point es-tu satisfait de ce qu’on vient de visionner ?

P : Écoute, je vais te répondre en m’excluant du forfait. Je suis flabbergasté par ce qu’on vient de regarder, puis par ce qui vous attend cette saison. Et je vais te nommer trois affaires.

D’abord, la qualité artistique du show. Je veux dire les épreuves, je veux dire les objets que sont les immunités, l’urne… Tout ce qui est décors dans lesquels se déroule… Il y a le décor naturel des Philippines : les îles, la mer, le paysage naturel qui est magnifique. Mais tout le reste, tout ce qui est créé par nous les humains, c’est incroyable ! Il y a plein de monde qui va découvrir Survivor avec Survivor Québec, mais il y a sûrement une base de gens qui sont fans de Survivor qui va nous regarder. Il faut qu’ils reconnaissent Survivor, et les fans vont s’y reconnaître. Ma phrase que je n’ai pas dite tantôt, mais que j’aurais tellement voulu dire, c’est « On ne joue pas à Survivor, on est Survivor » tellement que c’est bon !

L’épreuve de la grosse roche, c’est exactement comme les Américains. Il n’y avait rien de laissé au hasard, ce n’était pas à échelle plus petite. À la limite, notre terrain, je pense qu’il était quelques pieds plus grand que celui sur lequel ils l’ont fait aux États-Unis. La roche était fabriquée par les Québécois qui étaient là, mais aussi par les locaux. On est allés aux Philippines parce que les décors naturels sont magnifiques, mais aussi, car il y a une grande expertise des locaux là-bas. Les Philippins, les Philippines ont reçu les productions de Survivor américaines, suédoises, russes, françaises qui s’appellent Koh-Lanta… Ils ont donc un savoir-faire qui nous a permis de faire les épreuves de cette grande envergure-là, de la qualité la plus spectaculaire qui soit. Bref, ça, ça me rend très fier.

Les joueurs et les joueuses n’ont aucun sens. S’il n’y a pas 20 joueurs, joueuses, ces décors-là ont beau être magiques, mettons que j’étais pas pire animateur, je n’animerais rien et ces décors-là ne serviraient à rien. Ça prend 20 crinqués. 19 Québécois-Québécoises, et une Acadienne pour venir jouer à notre jeu, accepter de mettre leur vraie vie sur pause au complet. Être privé de tout contact avec leurs proches, pendant ultimement 44 jours pour le gagnant ou la gagnante. Moi, les joueurs m’ont fait capoter. Il y a aller au-delà, dépasser sa limite, puis aller au-delà du dépassement de sa limite. Pour le coup, ils ont fait tout ça ! Qu’ils aient duré 3, 40 ou 44 jours, ils ont tous prouvé qu’ils étaient dédiés, investis. Ils ont tous fait preuve de dépassement de soi.

L’esprit d’équipe aussi ! Julie l’a dit, on était 83 Québécois québécois, slash canadienne à être là-bas, à être sur place, à s’être expatrié là-bas pour 2 mois. Ça a créé un sentiment, un climat de famille avec la production, l’équipe.

Alors, ces trois éléments-là, c’est ce qui me rend le plus fier de cette affaire-là.

Après ça, à vous de juger si je fais bien ma job ou pas ! Mais je pense que je peux dire que je suis fier de ce que je fais comme animation. J’avais le goût de faire autre chose que ce que les gens connaissent de moi à Sucré Salé. Le gars très sympathique et ricaneur, il existe un peu, parce que, quand je les accueille à l’épreuve en début de journée, ça fait partie de « Salut, ça va bien ? Comment ç’a été hier soir ? » Mais, rapidement après ça, je dois être le juge, l’arbitre intransigeant durant l’épreuve pour m’assurer qu’il n’y ait pas de tricherie. Après ça, au conseil le soir, je suis un peu le faiseur baveux, le fouteur de trouble des fois pour faire dévoiler leurs stratégies ou autre à des joueurs. Je suis quand même un peu fier, sans aucune prétention, de ce que j’ai fait, mais ce qui me rend fier du show, ce n’est pas moi. Ce sont vraiment les trois autres éléments que je t’ai nommés.

C’est l’esprit d’équipe en coulisses qu’on a tous eu, mais d’abord et avant tout, la première, première affaire, c’est les joueurs parce que sans eux, il ne se passe rien. Puis, ultimement, les décors aussi qui font que Survivor a pris toute sa dimension et toute sa grandeur grâce à ça. Si les joueurs viennent jouer à quelque chose, c’est un peu tout croche, ça ne marchera pas. Mais là, c’était solide, c’était beau, c’était wow ! Tellement fier de ça !

Q4 : On l’a dit, ça prend une grande place dans ta vie Survivor ; comment as-tu vécu ton expérience, concrètement, sur place, aux Philippines ?

P : J’ai capoté du début à la fin ! Vraiment. En fait, je m’en ennuie beaucoup depuis que je suis revenu. J’ai un petit deuil à faire, car c’était la première fois dans ma vie depuis longtemps que je ne faisais qu’une seule chose. J’étais là-bas pour ça. Quand je suis ici au Québec, j’ai la chance de faire 2-3 projets en même temps, d’aller faire une voix le matin, une autre affaire l’après-midi, mais là, je ne faisais que Survivor. Juste Survivor, toujours Survivor (rires). Juste Survivor ! J’étais bien, j’étais dédié à 100 % à ça.

Ces joueurs-là, pourquoi je m’y suis tant attaché ? C’est parce qu’ils ont habité notre tête, notre cœur 24/7, pendant 44 jours. On ne pensait qu’à eux. Je me couchais le soir, dans mon lit, à l’hôtel, bien confortable, et je me demandais comment ils étaient sur l’île ; comment ça se passait pour eux de se coucher dans la nature, à entendre des bruits d’animaux qu’ils ne connaissent même pas, à se faire bouffer par des moustiques qu’ils ne connaissent pas. Ne pas manger, avoir faim. Aller faire une épreuve pour ta survie ou pour une récompense…

C’est tellement de niveaux Survivor que j’ai vécu une expérience. Quand les joueurs n’étaient pas là, j’étais le petit cul groupie. Je ne sais pas combien de photos ou de vidéos que j’ai dans mon téléphone. Je me sentais comme un gamin, un enfant qui débarque dans un film, dans un décor d’Harry Potter et qui dit : « Hein, je suis à Poudlar ! » et qui y croit. Moi, j’avais vraiment l’impression d’être dans Survivor, puis j’y étais pour vrai. Ce n’était même pas un décor de film, c’était la vraie affaire. J’ai essayé toutes les épreuves, je voulais toutes les essayer avant ou après. Je n’ai pas pu toutes les essayer, mais j’ai voulu toutes les essayer. J’en ai fait quand même pas mal, parce que je tenais à en essayer, à le vivre. Donc, j’ai capoté.

Ma semaine préférée, c’est quand ma gang, mes boys et ma blonde sont venus me rejoindre pour la relâche scolaire. Ils sont venus passer les journées de la relâche avec moi puis ça, c’était indescriptible. On prenait le bateau ensemble, on allait sur l’île X, Y ou Z où ils assistaient à l’épreuve, cachés parce qu’il ne fallait pas qu’on les voie. On se baignait dans la mer des Philippines. Tout ça n’avait aucun sens, pour des fans de Survivor. Qu’on ait pu vivre ça, que mes garçons aient pu voyager jusqu’en Asie avec ma blonde, c’était complètement unique et mémorable.

Ce dont je suis fier, c’est d’avoir savouré le moment aussi. Tu sais, des fois tu peux être pris, happé par le travail, puis oublier de… Je me rappelle la première ride de bateau qu’on a faite avant que les jeux commencent, pour que j’aille visiter les installations, les îles et tout. Le décor est tellement magnifique ! À Yan, la personne avec laquelle j’étais dans le bateau, l’auteur avec qui je travaillais là-bas, Yan Bilodeau, j’ai dit “Ça n’a pas de sens comment c’est beau ! Rappelle-moi de ne jamais me tanner de ça. Si dans le jour 33, je te dis : Ah, ça ne va pas, il faut que tu me dises : Attends, on est ici ; on fait Survivor, c’est ton show de rêve. Tu n’as pas le droit de dire : encore le même rush… Il faut qu’à chaque fois ça te fasse de quoi. » Et il n’a pas eu besoin de me le dire, t’inquiète.

J’ai été charmé et subjugué tous les jours. Je vais toujours travailler avec grand bonheur, mais ça, c’était juste Wow. J’en ai vraiment profité.

Q5 : Julie l’a dit tout à l’heure, ton oreillette a arrêté de fonctionner pendant un défi. Comment as-tu géré la situation ?

P : En fait, moi, je n’ai jamais travaillé avec une oreillette dans ma vie. Elle était là juste pour me donner des repères. Je sais mes textes, je sais mes affaires. Je l’avais afin de m’assurer de ne pas manquer de moment clé de l’action s’il arrivait quelque chose, parce que, eux, ils ont environ 20 caméras. Ils peuvent voir parfois dans une image, pendant que moi je regarde ailleurs, que quelqu’un est tombé en bas ou s’est enfargé. C’était que pour m’aider à avoir des repères, mais je l’ai pris.

Je me suis dit : “C’est parfait, ça ne fait qu’ajouter à la vraie vérité du moment ; à la vraie affaire.” J’étais fier de le réussir sans et de le faire sans, parce que je me disais : “Okay, si j’ai réussi ça, je vais être correct pour la suite. Ça va bien aller, je vais être correct.” Puis ça a juste ajouté une petite coche d’"on plonge, on y va".

Il faut que ça marche, mais ça marche seul. Je suis dans le milieu du petit banc de sable, au milieu de la mer des Philippines. Il y a un bateau d’un bord, les catapultes de l’autre. Je fais : “Okay, c’est là. On se lance. Go, ça part ! C’est Survivor.”

Q6 : Parmi ce que tu peux dévoiler, quels sont les défis qui s’en viennent pour les participants ?

P : Écoute, ça fait six mois qu’on me dit de ne pas dire un mot. Je ne sais pas ce que j’ai le droit de te dire, j’haïs ça te faire ça. Je vais te dire qu’il y en a 34. Et ils sont incroyablement spectaculaires, autant les uns que les autres. Tous.

Il y en a des marins, donc dans l’eau ; des terrestres et des moitié-moitié. Ce que je peux dire, c’est que certains deviendront, éventuellement, des épreuves d’endurance et que, dans les épreuves d’endurance, c’est probablement là où les joueurs auront été les plus fous ; les plus crinqués. Et où ils se seront mis le plus en danger.

On pense parfois que c’est la grosse roche qui roule et les tranchées, mais des fois, juste de rester accroché à quelque chose ou de rester immobile avec quelque chose, de tenir en équilibre quelque chose, ça, ça devient encore plus un jeu mental et physique. Mais la joute mentale embarque beaucoup, la force de ton mental. De résister, de persister, de rester dans le jeu. De vaincre des peurs des hauteurs, de vaincre tes peurs en général.

Je peux seulement dire qu’elles sont toutes spectaculaires, puis qu’il faut regarder du lundi au jeudi et le dimanche, parce qu’il y en a dans tous ces épisodes-là. Ce n’est pas réservé exclusivement aux dimanches. Comme les conseils et les éliminations, c’est partout dans la semaine et les dimanches. Je ne peux pas dire quelles épreuves s’en viennent, mais elles sont toutes hallucinantes. 

Q7 : Crois-tu que tu aurais fait un bon participant ?

P : Je pense qu’il y aurait deux volets sur trois que j’aurais été pas pire.

Le social, ça aurait bien été, parce que je suis un être social dans la vie. Il aurait fallu que j’apprenne à me retirer aussi parfois, pour ne pas leur tomber sur les nerfs.

Je crois que j’aurais été une bête dans les épreuves, parce que je n’accepte pas la défaite. Je hais perdre, puis je suis très compétitif.

Cependant, la portion survie, j’aurais été très mauvais. Faire du feu, fabriquer un abri, aller pêcher, je suis très, très mauvais là-dedans. Alors j’aurais été bien mauvais là-dessus, mais après ça, ça dépend sur quel genre de tribu tu tombes.

Est-ce que j’aurais pu faire long feu, longue vie ? Ou même ma vie sociale serait tombée sur les nerfs à des gens, puis ils m’auraient éliminé ? Peut-être.

Q8 : Côté projet, vous avez récemment annoncé, Étienne Boulay et toi, le retour des Testeurs. Comment t’y prépares-tu ?

P : Très heureux du retour des Testeurs ! La saison est complète, elle est tournée. Elle est faite, donc le 13 avril, vous retrouverez Étienne et Pat avec la même folie, les deux mêmes tatas qu’il y a dix ans. Un peu plus vieux, et qui ont besoin d’un petit peu plus de glucosamine pour nos muscles endoloris (rires). On est vraiment très fiers que ça revienne à Z, et qu’on ait pu s’éclater avec plein de nouveaux tests tous plus fous les uns que les autres.

Crédit photo : Frédéric Lebeuf

Vous l’aurez compris : entourés de plus de 7000 îles sauvages et perdues au beau milieu du Pacifique, 10 femmes et 10 hommes vivront l’expérience la plus marquante de leur vie. Ils débarqueront à l’autre bout du monde avec rien d’autre que leur immense motivation, et leurs parcours de vie uniques. Afin d’avancer dans la compétition, les 20 joueurs, d’âges et de milieux différents, devront repousser leurs limites pour subvenir à leurs besoins primaires, se soumettre à de nombreuses épreuves, physiques et mentales, et tenter de survivre aux éliminations à travers une joute sociale redoutable.

Kalooban
Définition : Volonté, force intérieure

Denis

Âge : 33 ans

Ville : Varennes (né en Russie)

Métier : Entraîneur privé

Pierre-Alexandre

Âge : 43 ans

Ville : Drummondville

Métier : Éducateur à la petite enfance

Karine

Âge : 37 ans

Ville : Chelsea

Métier : Professeure de karaté

Justine

Âge : 25 ans

Ville : Gatineau

Métier : Fonctionnaire

Nicolas

Âge : 24 ans

Ville : Gatineau

Métier : Agent en communications et marketing

Matin

Âge : 52 ans

Ville : St-Jean-sur-Richelieu

Métier : Designer de camions blindés

Martine

Âge: 47 ans

Ville : Lorraine

Métier : Adjointe politique

Sylvain

Âge : 41 ans

Ville : Gatineau

Métier : Planificateur en boulangerie

Vicky

Âge : 42 ans

Ville : Gatineau

Métier : Fonctionnaire

Maryse

Âge : 27 ans

Ville : Montréal

Métier : Enseignante en éducation physique

Tiyaga
Définition : Persévérance, travail acharné

Christophe

Âge : 40 ans

Ville : Boisbriand

Métier : Col bleu

Marcus « Sango »

Âge : 28 ans

Ville : St-Hubert

Métier : Monteur vidéo

Johannie

Âge : 38 ans

Ville : l’Anse-Bleue (Quaraquet)

Métier : directrice centre soins en santé mentale

Isabelle

Âge : 52 ans

Ville : Terrebonne

Métier : Entrepreneure en services financiers

Kimberly

Âge : 25 ans

Ville : Mascouche

Métier : Podiatre

Jean-Junior

Âge : 41 ans

Ville : Victoriaville

Métier : Opérateur dans une aluminerie

Joël

Âge : 24 ans

Ville : Saint-Jean-Sur-Richelieu

Métier : Éducateur spécialisé

Marika

Âge : 23 ans

Ville : Trois-Rivières

Métier : Joueuse professionnelle de soccer

Sandrine

Âge : 25 ans

Ville : Trois-Rivières

Métier : Copropriétaire d’un club de cheerleading

Simon

Âge : 21 ans

Ville : Québec

Métier : Mécanicien

Dès 20 h ce dimanche, les téléspectateurs de Noovo découvriront SURVIVOR QUÉBEC dans un premier épisode spécial de 90 minutes. Alors divisés en deux tribus, les joueurs devront déjà surmonter une épreuve de groupe, commencer à installer leur camp, bâtir un abri et surtout performer dans une première épreuve d’immunité spectaculaire : une roche géante qui devra être déterrée et roulée à travers un parcours des plus impressionnants. Les premières stratégies se déploieront sous les yeux du public alors que l’équipe perdante rejoindra l’animateur Patrice Bélanger pour un premier Conseil de tribu. C’est alors que déjà, un premier joueur verra son flambeau s’éteindre et devra quitter la compétition après que la tribu ait parlé.

À l’issue de 44 jours de tournage, et d’un vote du jury composé des derniers joueurs éliminés dans le jeu, le dernier survivant deviendra le grand gagnant de SURVIVOR QUÉBEC et remportera un prix en argent de 100 000 $ lors de la finale diffusée le dimanche 18 juin prochain.

Laurie Mongrain

Journaliste & réviseuse

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