Zénith, le nouveau concept de Véronique Cloutier, promet des soirées endiablées !


C’est ce jeudi 19 janvier, à 20 h, que Lunou Zucchini, Jason Roy Léveillée, Jean-François Breau et Johanne Blouin briseront la glace en devenant les premiers invités à monter sur la grande scène de Zénith, le nouveau variété musical animé par Véronique Cloutier. Prêts à tout pour séduire chaque génération, ils vous en mettront plein la vue et les oreilles en direct sur ICI TÉLÉ !
Au cours des prochaines semaines, 24 artistes-chanteurs (6 par génération) viendront présenter des numéros à grand déploiement inspirés par des succès populaires d’hier à aujourd’hui. Classiques qu’ils revisiteront dans une mise en scène unique. Ils seront ensuite jugés par les 100 personnes du public réparties par génération dans les estrades, avec à leur tête les capitaines Normand Brathwaite, Élyse Marquis, Félix-Antoine Tremblay et Claudia Bouvette qui donneront le pouls de leur génération en plus d’attribuer une note.
Suite à la présentation de leur numéro, les artistes devront performer en rappel devant la génération qui leur aura attribué la plus faible note. En version karaoké, ils interpréteront sans aucune préparation une chanson qu’ils choisiront parmi les huit titres qui leur seront proposés. Tout au long de l’émission, le public à la maison aura également son mot à dire et sera invité à voter au radio-canada.ca/zenith. L’artiste coup de cœur du public méritera alors des points supplémentaires.


Lunou Zucchini, Jason Roy Léveillée, Jean-François Breau et Johanne Blouin (19 janvier) ; PETiTOM, Yama Laurent, Guylaine Tanguay et Patsy Gallant (26 janvier) ; Ludovick Bourgeois, Véronique Claveau, Jonas Tomalty et Kim Richardson (2 février) ; Gabrielle Fontaine, Annie Villeneuve, David Savard et Martin Fontaine (9 février) ; Maëva Grelet, Damien Robitaille, Kathleen Fortin et Joël Legendre (16 février) ainsi qu’Éléonore Lagacé, Matt Lang, Benoit McGinnis et Laurence Jalbert (23 février) sont les artistes qui rivaliseront dans la première ronde de Zénith.
Les médias ont été invités lundi dernier sur le plateau afin de découvrir en primeur la bande-annonce, et en apprendre davantage sur le concept de la série. Nous avons eu la chance de nous entretenir avec les quatre premiers invités, les quatre capitaines ainsi qu’avec Louis Morissette, producteur et mari de l’animatrice. Voici les propos que nous avons recueillis. Soulignons au passage qu’aucune possibilité de rattrapage télévisuel ne sera offerte. Il vous est donc primordial d’enregistrer ces fêtes multigénérationnelles en cas d’impossibilité de les écouter en direct.


Capitaines : Générations Boomers - Z


Normand Brathwaite — Génération Boomers
Question 1 : À titre de capitaine, comment te prépares-tu à tourner Zénith ?
Normand : Il n’y a pas beaucoup de préparation, parce que nous n’avons pas encore vu les numéros ni les répétitions. Je dirais que, la préparation, c’est d’arriver avant le show, d’être en forme et d’avoir l’esprit ouvert !
Q2 : En quelques mots, pourquoi ta génération mériterait-elle selon toi de remporter la compétition ?
N : Parce que, selon moi, c’est eux qui ont le plus d’expérience. Ils sont capables de faire un peu de tout, que ce soit nouveau ou plus ancien.
Q3 : À ton avis, quel sera ton plus grand défi pendant la saison ?
N : Selon moi, ce sera d’être présent toutes les semaines. Et d’être en forme (rires).
Q4 : Finalement, quelle est ta plus grande motivation, ce qui t’a convaincu de participer à l’émission ?
N : C’est Véro ! J’adore vraiment travailler avec Véro.




Élyse Marquis — Génération X
Question 1 : À titre de capitaine, comment te prépares-tu à tourner Zénith ?
Élyse : Comment est-ce que je me prépare à Zénith ? Bien, en fait, il n’y a pas vraiment de préparation, parce qu’on va tous être surpris ! En fait, il faut que j’aie l’esprit ouvert, que je sois attentive, qu’on voit les numéros, qu’on réagisse le plus possible avec notre cœur, donc non, je n’ai aucune préparation à faire ; à part que je me suis trouvé des kits pour m’habiller. C’est tout (rires) !
Q2 : Selon toi, qu’est-ce qui distingue ta génération ?
É : Ah ! Nous, la génération X, on est les travaillants. On n’a pas peur de travailler. Ça ne marche pas ? On recommence, on travaille, on travaille, donc je vais apprécier des numéros bien sûr qui rejoignent ma génération par des chansons qu’on connaît, qu’on apprécie, mais aussi, si les gens ont travaillé fort sur leurs numéros, ça va se voir. Ça va paraître !
Q3 : Quel est ton plus grand défi dans Zénith ?
É : Mon plus grand défi ? Oh, mon dieu, ça va être d’être concise ! Tu sais, quand Véro va me demander mes commentaires, je devrai être concise, puis vraiment considérer tout le monde qui va être autour de moi.
Q4 : Finalement, quelle est ta plus grande motivation, ce qui t’a convaincu de participer à l’émission ?
É : Ah, j’aime tout ! J’aime que ce soit une émission en direct, j’aime qu’il y ait un band, j’aime voir des artistes comme Lunou qui se dépassent, c’est ce que j’aime le plus. J’ai juste hâte à jeudi !




Félix-Antoine Tremblay — Génération Y
Question 1 : En quelques mots, comment te prépares-tu avant de commencer à tourner Zénith ?
F-A : Oh, mon dieu, je dirais : je ne me prépare pas ! Tu sais, tu comprends ce que je veux dire ? Parce que, moi, mon job, ce n’est pas de donner des commentaires, ce n’est pas de juger. Je ne suis pas chanteur, je ne suis pas musicien. Mon job ici, c’est juste d’être présent, puis de recevoir les numéros, de me laisser surprendre, de me laisser toucher. Fak, je pense que la meilleure façon de se préparer, c’est de ne pas se préparer (rires). Juste d’être ouvert et d’être respectueux du travail. Tu sais, les artistes qui vont venir ici vont présenter des choses qui vont vraiment les sortir de leur zone de confort. Ils vont essayer des choses, puis, moi, ce qui m’épate et ce qui m’impressionne, c’est vraiment la prise de risque et les gens qui vont essayer des affaires qu’ils ne font pas d’habitude plus qu’une performance parfaite. Fak, j’arrive ici très ouvert, bien prêt. C’est ça ma préparation, pas de préparation !
Q2 : Selon toi, pourquoi ta génération mériterait-elle de gagner la compétition ?
F-A : Ah ! Bien, écoute ! Je pense que toutes les générations méritent de gagner assurément, parce que tous les artistes mettent vraiment leurs cœurs là-dedans. Cela dit, je pense que les « Y », on est une génération d’ouverture, on est une génération très curieuse des autres générations aussi. On est comme un peu limite, bientôt dans le milieu des quatre générations, donc je pense qu’on a une bonne connaissance et un bon respect des autres générations. Bref, j’espère que ça pourrait nous servir.
Q3 : Quel est ton plus grand défi, ta plus grande motivation ?
F-A : Ah ! Mon Dieu ! Mon plus grand défi par rapport à Zénith, ça serait assurément de réussir à être juste avec tout le monde. Puis, en ne sachant rien, je me laisse surprendre tout le temps. Le plus grand défi, ça va donc être de gérer ma face, parce que je vais être tellement emballé, tellement impressionné c’est sûr que je vais être loud. Je vais chanter, je vais danser, je vais crier, donc mon plus grand défi, c’est ça. Je vais devoir mettre un petit peu le pied sur le break et me dire que je ne veux pas énerver le monde. Ma plus grande motivation, c’est de venir encourager ces artistes-là. Moi, j’adore les chanteurs, j’adore les chanteuses, j’adore les shows de variétés, donc ma plus grande motivation c’est de venir les encourager et de respecter tout le travail ; les répétitions qu’ils vont avoir faites, la préparation qu’ils vont avoir faite pour la présentation de ce numéro-là. C’est vraiment ça la motivation que j’ai à faire ce spectacle-là !




Claudia Bouvette — Génération Z
Question 1 : À titre de Capitaine, comment te prépares-tu à tourner Zénith ?
Claudia : Je me prépare avec de méchants beaux kits ! Ça, c’est la première chose, quoique je vais être derrière mon petit podium (rires). Mais je me prépare… Comment est-ce que je me prépare ? En fait, il n’y a pas beaucoup de préparation, dans le sens où moi, tout ce que j’ai à faire, c’est d’être là, d’être attentive, de me laisser porter par mes émotions puis de me laisser porter par la prestation des participants. En termes de préparation, c’est de penser à la manière dont je vais interagir avec ma gang, la manière dont nous allons créer notre petit écosystème. Après ça, oui on est divisé en générations et moi, je suis la porte-parole de ma génération. Moi, mon but est de sizer puis d’écouter le pouls de la maison genre (rires) ! C’est pas mal ça.
Q2 : Selon toi, pourquoi ta génération mériterait-elle de gagner ?
C : En fait, je ne sais pas si je pense que ma génération mériterait de gagner…
Sous-Q2 : Alors en quoi ta génération se distingue-t-elle ?
C : Je pense que ma génération peut peut-être se distinguer en termes de.. Je pense que les jeunes n’ont pas peur de se salir les mains, n’ont pas peur de sortir de leur zone de confort. Je pense donc que les jeunes auront peut-être plus de facilité à sortir de leur zone de confort, mais je ne dis pas par exemple que les boomers ou les générations X ne le feront pas, que ça ne va pas justement être surprenant.
Q3 : Du côté musical, qu’est-ce qui définit ta génération ?
C : En termes de musique, je pense que nous sommes une génération qui adore le rap, et le trap. J’imagine donc qu’on va… Moi, je trouverais ça vraiment hot d’entendre une toune qu’on connaît qui roule à la radio, une toune de rap, mais genre jazz ; d’aller vraiment dans un style musical opposé. Tout au long de la série, je pense que ça va être une des facettes des prestations qui va le plus venir me chercher. Après ça, je pense que les jeunes ont de la fougue. En même temps, les jeunes… Pour participer à Zénith, il faut que tu aies de la fougue. Peu importe ton âge.
Q4 : Qu’est-ce qui t’a motivé, convaincu de participer à l’émission ?
C : Je suis extrêmement choyée et honorée d’avoir cette position-là, cette place-là dans le show, ce qui fait que je n’ai pas besoin de motivation pour être là. Je suis déjà tellement reconnaissante d’être là.
Q5 : Finalement, quel sera ton plus grand défi ?
C : Mon plus grand défi, je pense que ça va d’être complètement là avec tous les gens qui m’entourent, parce que c’est ça mon rôle, moi. C’est d’être là avec eux puis de parler pour eux. Ne pas juste exprimer ma propre opinion.




Producteur / KOTV


Question 1: En quelques mots, à quoi peut s’attendre le public pour la première saison de Zénith ?
Louis: S’attendre ? À être surpris et à participer ! Il y a un vote du public, les gens pourront voter à la maison et ça, c’est cool. Le public a une incidence directe sur le dénouement de la situation. C'est comme cool.
Q2: À titre de producteur, quel est ton plus grand défi et ton plus grand souhait ?
L: Gérer l’animatrice, son caractère terrible (rires) ! Non, je fais des blagues. Non, mon plus grand défi à titre de producteur, il est budgétaire. Il faut rentrer dans le budget, parce que des fois, les créatifs peuvent s’enflammer puis là, ça coûte cher. Après ça, mon souhait, c’est de l’exporter sur la planète, de trouver d’autres marchés. Que Zénith existe dans plusieurs langues !
Louis Morissette




© Benoit Rousseau
Premiers participants : Générations Boomers - Z


Johanne Blouin - Génération Boomers
Question 1 : En tant que participante, comment te prépares-tu à tourner Zénith ?
Johanne : Là, je fais beaucoup d’écoute pour apprendre le plus de chansons possible. Je fais beaucoup, beaucoup, beaucoup d’écoute, parce qu’on ne sait pas, par exemple, pour les rappels qu’est-ce que ça va être puis tout ça. Je me rafraîchis donc la mémoire sur un paquet de chansons. Mais pour ma participation, je suis pas mal prête.
Q2 : Que réserves-tu au public ?
J : Ça va être un arrangement varié à l’intérieur du deux minutes, alors il va avoir différents feelings à l’intérieur de ça. Justement pour essayer de plaire au plus de monde possible.
Q3 : Finalement, qu’est-ce qui t’a convaincue de participer à l’émission ?
J : Bien, comme on disait, c’est le fait de prendre quelque chose et pouvoir s’éclater. Avoir toute une équipe avec nous autres !




Jean-François Breau - Génération X
Question 1 : À titre de participant, comment te prépares-tu à tourner Zénith ?
Jean-François : Je me prépare en répétant mon numéro, en me mettant dans un état d’esprit de fête parce que ça va être ça jeudi, la fête ! Ce qui m’allume le plus, c’est vraiment la liberté d’avoir choisi moi-même la chanson et d’avoir tous les outils de la production. C’est très hot d’avoir tous les outils pour monter un grand numéro de variété ! Pour moi, c’est quelque chose qui m’allume beaucoup.
Q2 : Que réserve ta prestation au public ?
J-F : Je pense que c’est de la surprise. De la surprise, car c’est ça que je disais, c’est de prendre mon fun, c’est de prendre une chanson qu’on connaît dans un style, de la virer sur sa doublure puis de l’amener complètement ailleurs. Créer un effet de surprise ! Moi, c’est sur ça que je vais miser, rallier toutes les générations. Donc autant dans le style que dans le choix de la chanson.
Q3 : Côté projets, qu’est-ce qui s’en vient pour Salebarbes ?
J-F : On s’en va en studio d’ici un mois pour écrire un troisième disque qu’on va lancer quelque part à l’automne, avec une belle tournée à l’automne qui est déjà pleine. On est bien, bien fiers !
Q4 : Justement, j'ai récemment eu la chance d’interviewer Éloi Painchaud qui m’a confié votre but ultime pour l’album, soit qu’il soit composé à 100 % de chansons originales. Crois-tu réussir ?
J-F : C’est ce qu’on veut ! Il y a déjà quelques chansons en tournée, en tout cas dans la dernière année. On a réussi à écrire quelques chansons qui vont sûrement se retrouver sur l’album, mais oui, Salebarbes, pour nous autres, l’aspiration ultime c’est vraiment d’écrire. Il faut prendre le temps, car on est quand même cinq auteurs-compositeurs qui gagnent notre vie avec ça, avec nos chansons. Donc oui, c’est une question de temps avant que ça soit un album 100 % original. Le premier, c’était des reprises, le deuxième, c’était une moitié de reprises puis là, ça va être un album original au complet. Que du Salebarbes !




Jason Roy Léveillée - Génération Y
Question 1 : À titre de participant, comment te prépares-tu à tourner Zénith ?
Jason : Oh, mon Dieu ! Premièrement, c’est sûr que là, il y a plus qu’une chanson à apprendre. Il y a les paroles de la chanson, mais il y a aussi la mise en scène et les chorégraphies. Il va y avoir des danseurs, il y a plusieurs étapes, mettons. C’est une chose à la fois dans ma tête (rires). Puis ouais, c’est ça. Je vais avoir du fun ! Je répète chez nous, je marche, je mets la musique dans mon auto. J’essaie de l’intégrer le plus possible pour être prêt, puisqu’on la fait une seule fois. C’est en direct, c’est live.
Q2 : Qu’est-ce qui t’a convaincu de participer à l’émission ?
J : Oh, mon dieu, ça n’a pas pris grand-chose ! Juste un courriel. C’était écrit : il y a un nouveau show, c’est Véronique Cloutier qui l’anime. Déjà là, je me suis dit : ça va être bon. Puis après ça, c’est faire de la musique avec un groupe. Il va avoir un band qui va être là, live. Moi, déjà quand on chante en live, avec un band, ça me fait tripper. J’ai toujours aimé être sur scène, communiquer avec le public. Avoir la réaction directe, l’adrénaline puis l’esprit de gang aussi, ce qui fait que c’est sûr que moi, je suis là.
Q3 : Finalement, en quelques mots, que nous réserve ta prestation ?
J : C’est un classique que j’ai changé, parce qu’il faut faire plaisir à un public large. Je pense que c’est une chanson qui plaît à la base aux plus vieux, mais je l’ai adaptée pour plaire aux plus jeunes.




Lunou Zucchini - Génération Z
Question 1 : En tant que participante, comment te prépares-tu à tourner Zénith ?
Lunou : Premièrement, c’est d’être présente aux rencontres, être présente aux réunions qu’il y a par rapport au show. Puis après ça, c’est sûr qu’il y a de la préparation à la maison et tout. Dépendamment s’il y a de la chorégraphie ou pas, s’assurer de connaître ce que j’ai à faire. Mais ça se fait super bien ! L’équipe est super présente, puis c’est vraiment un travail d’équipe.
Q2 : Qu’est-ce qui t’a convaincue de participer à l’émission ?
L : Vraiment, c’est le fait que ce soit une carte blanche ! C’est du direct, tu choisis ton truc. C’est dans la légèreté. C’est une sorte de compétition, pas compétition. Les gens sont là pour tripper, alors je trouve vraiment ça le fun comme concept !
Q3 : En quelques mots, que réserve ta prestation au public ?
L : Je pense qu’elle réserve un changement, une espèce de… On commence quelque part, on ne finit pas là (rires).




À l’issue des résultats obtenus par les artistes après les 6 premières émissions, les 3 artistes qui obtiendront les pointages les plus élevés de leur génération accéderont directement aux demi-finales. Les 2 artistes dont les pointages les placeront au 4e et au 5e rang de leur génération devront prendre part aux quarts de finale. Enfin, l’artiste qui obtiendra le plus faible pointage de sa génération sera éliminé. La ronde des demi-finales verra 4 artistes d’une même génération s’affronter entre eux, puis 1 artiste par génération accédera à la grande finale qui couronnera un champion ou une championne qui aura réussi à trouver la meilleure stratégie pour séduire toutes les générations !
Par ailleurs, KOTV est fière d’annoncer la signature d’une option sur le concept de Zénith pour tous les territoires francophones d’Europe. C’est le prestigieux groupe français Mediawan Prod qui a fait l’acquisition du format, et ce, avant même d’avoir eu l’occasion de visionner un épisode. Cette entente témoigne des grandes possibilités de rayonnement du format sur le marché international.


Laurie Mongrain
Journaliste


Alexie Costa
Photographe


Christina Champagne
Transcription | Jason Roy Léveillée, Claudia Bouvette, Louis Morissette & Jean-François Breault


Zachary Bergeron
Transcription | Normand Brathwaite & Élyse Marquis


Malorie Clairoux
Transcription | Félix-Antoine Tremblay


Amélie Ferguson


Transcription | Johanne Blouin